Race & origine Le coeur de feu de Resdayn bat à ses tempes à l'unisson avec le sien, alors que son sang se mêle à la cendre de Morrowind la perdue, Morrowind la maudite, Morrowind qu'il pleure, sa mère patrie écorchée par la colère des éléments et battue par les vents de l'oubli et de la haine. La pâleur maladive de son derme, la braise de son regard méprisant sont les meilleurs indicateurs de ce qu'il est, de la race qu'il porte fièrement : les Dunmer, les elfes noirs, les protégés maudits d'Azura. Affiliation Il n'y a qu'à son sang que l'on peut véritablement porter sa loyauté, à la pureté lynchée des Drès qui eux-mêmes ne sont que l'ombre fantomatique d'un passé bouffi d'orgueil. Dans cette tornade d'intérêts contradictoires et belliqueux, entre l'Empire des Mens et celui des Elfes corrompus, détournés des divinités daedriques, seul l'égo fait office de clan, seul le moi s'impose en gage de survie. Qu'importent les autres et leurs luttes pathétiques, elles sont seulement utiles à ses propres intérêts financiers. Métier Ici, en Bordeciel, il est à la fois tout et rien. Tout, parce qu'il est issu d'une maison de Morrowind qui siège toujours au Conseil des grandes maisons, malgré ses possessions qui se réduisent à quelques miettes, et rien parce que ce rang ne veut rien dire aux yeux des grands. Et cela l'arrange car depuis qu'il a quitté sa terre pour venir dans la froide contrée, Seryn offre ses compétences à la bourse la plus généreuse. L'information est une denrée qui se monnaie, qui circule et se déforme au gré du vent, et avec les disputes d'enfants entre Sombrages et Impériaux, sans même parler du Domaine, on tuerait pour en savoir plus que l'autre. Et lui, il est là, au milieu de ce jeu bestial et pernicieux, se frottant les mains en observant, interrogeant, écoutant avec attention, espion sans loyauté, amusé par les disputes de chacun. Dieu De tout temps, même alors que le faux Tribunal régnait encore en despote sur Morrowind, Seryn a honoré les véritables divinités des Dunmers : Azura, Boethia et Méphala, les princes du Dunmereth. L'obscurité de ses actions, la ruse, le mensonge, la duperie et le sang sont leurs domaines et sont devenus ses propres valeurs.   Caractère Seryn Drès… Que dire de cet être sinon qu’il véhicule tel un parasite, la peste des maux que l’on peut attribuer aux elfes noirs et qu’il s’en acquitte avec un surprenant détachement et une désinvolture insupportable, seul un sourire caustique ornant ses lèvres livides ? Une personnalité exécrable pour une âme en lambeaux, tournée vers elle-même et ses chimères passées. La créature a le regard méfiant, le silence facile pour mieux observer son environnement et les pathétiques gens qui l’entourent, ces êtres à l’existence sans importance et au quotidien si bien rodé qu’il n’inspire que dégoût et mépris à qui fut un noble Drès. Un Dunmer intolérant, quoi de plus surprenant ? Eduqué dans la haine et le mépris de l’autre, dans la certitude que ces misérables mortels ne sont utiles qu’à mourir au labeur pour la grandeur de sa famille, il est bien difficile de mettre fin à tant de siècles de préjugés. L’arrogance transpire de son être, mais ce n’est pas parce qu’il adopte l’apparence de ne se soucier de rien qu’il n’est pas attentif à ce qui l’entoure, bien au contraire ; les apparences trompeuses sont une seconde nature pour l’adroit Dunmer dont la ruse et la sournoiserie n’ont d’égales que sa cruauté. Fieffé menteur, la duperie est gage de survie dans sa dangereuse activité, tout comme la manipulation. Dresser les uns contre les autres et les observer se chamailler, il n’y a rien de plus amusant à regarder avant de s’éclipser comme si l’on avait jamais été là. Les valeurs de cette créature qui ne semble pas en avoir ? L’argent bien sûr, l’avarice n’a jamais été un défaut quand l’appât du gain est motivé par quelque chose de plus grand. Pour l’héritier qui n’a plus rien hormis un nom, il n’y a rien de plus judicieux que d’amasser sa propre fortune pour retrouver ce qu’on lui a arraché. Les années ont passé, mais la rancune est toujours si tenace, la haine toujours si forte, au point que la simple vision d’un Argonien lui donnerait des envies de meurtre. Une personne très agréable, n’est-ce pas ? L’elfe est dur avec les autres, mais il l’est surtout avec lui-même, il ne recherche ni la rédemption, ni la compassion d’autrui – la pitié le dégoute – mais au fond, le sentiment de perte, les blessures intérieures n’ont pas disparu, ni cicatrisé. Difficile à atteindre, difficile à toucher, sa carapace est telle que l’on pourrait croire que son cœur est de glace, voire qu’il n’en a même aucun. Il est juste trop amer pour le montrer et en faire preuve.

Apparence, vêtements, anecdotes Outre ce teint particulier et maladif propre à sa race, en dehors de cet œil de braise qui déchiquette l’âme à souhait, Seryn se distingue en premier lieu par cette large cicatrice qui défigure une partie de son visage. Une blessure qu’il porte comme un trophée, la brûlure intacte de sa haine des hommes-lézards à la langue fourchue. Si l’œil droit n’est plus valide, ça ne l’empêche pas d’observer quiconque du coin de l’autre et s’arrange pour adopter un angle de vue, une posture qui lui permette de capter la plus grande partie de son environnement d’un regard. Il ne faut pas croire, les borgnes s’adaptent au même titre que les aveugles et, s’il doit combattre, il adoptera une position qui lui permette de ne pas être facilement trompé, utilisant également son ouïe fine, plus développée que la moyenne pour avoir passé plusieurs mois dans un noir des plus complets. D’autres cicatrices profondes se cachent également sur le reste de son corps ; son torse, son dos, ses bras, des zébrures dans la chair qui se mêlent à des tatouages tribaux qui serpentent le long de son bras droit pour glisser dans son dos et mordre le bas de ses reins. Des marques qui malgré tout donnent un certain charme et mettent en exergue une musculature saillante, et qui témoignent d’une période difficile mais aussi d’une jeunesse qu’il n’expose pas au premier venu : car si les premières sont issues de la guerre, les seconds englobent savamment, mettant en valeur tout en les cachant subtilement, des tatouages traditionnels propres aux membres de la Camonna Tong. Une organisation mafieuse qui n’inspire guère ni la confiance, ni la sympathie aux étrangers. En toute circonstance, la créature autrefois habitué au luxe et au confort adopte des tenues sans doutes simples mais élégantes, dépourvues de fioritures ridicules mais aux tissus de qualité et ajustées comme il se doit. La discrétion avant tout, mais au moins, on ne risque pas de le confondre avec un misérable péquenaud de la campagne ou avec ces moins que rien du quartier gris de Vendeaume. Enveloppé de couleurs sombres dans lesquelles se perdent ou se confondent ses longs cheveux noirs, il y mêle tantôt un rouge qui rappelle le sang versé, tantôt un bleu aussi triste que la nuit.

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Les dragons ont toujours été une légende, du folklore : maintenant, on dit qu'un d'entre eux à attaquer la forteresse d'Helgen.. Y croyez-vous ? En réalité, qu’importe si cela est vrai ou totalement un tissu de mensonges : la vérité, c’est que beaucoup seraient prêts à payer très cher pour avoir le moindre petit détail truculent à propos de ce dragon : quelle taille avait-il, quelle couleur ? Combien de cornes sur son horrible tête ? Seryn n’a pas assisté aux festivités d’Helgen, que peut-il dire sinon que si tant d’histoires circulent à ce sujet, et au vu de ce qu’il reste de cet endroit, alors c’est qu’il doit y avoir un fond de vérité quelque part. Mais un véritable dragon ? Oh, après tout, Morrowind a bien connu des faux-dieux vivants, la réincarnation de Nerevar et la chute d’une météorite engloutissant ses terres, alors une chose impossible de plus ou de moins…

La mort du haut-roi des mains du chef des rebelles, le siège de Fortdhiver sont deux actions qui ont fait éclaté la guerre civile, longtemps larvée entre Impériaux et Sombrages : comptez vous vous engager d'un côté ou de l'autre ? S’engager alors qu’il est bien plus profitable d’être à disposition de n’importe quel camp dans la capacité de payer ? Et puis quoi encore ? Pourquoi soutiendrait-il les uns ou les autres alors qu’ils ne sont rien à ses yeux : d’un côté, l’Empire, une institution toujours abhorrée par les siens, avec leurs principes anti-esclavagistes et de l’autre, ces brutes à cervelle moisie qui affichent ouvertement leur mépris pour sa propre race. Qu’ils s’entredéchirent donc, ces misérables sacs à merde.

3E367 : Seryn voit le jour à Larme, la capitale de la grande maison Drès. Il est le deuxième né mâle de la famille à la tête de ce noble clan esclavagiste. Très tôt lui sont inculquées les notions de supériorité et de mépris des autres races. Le jeune elfe grandit donc dans les hauts quartiers opulents de cette cité marchande où rampent dans les basses-rues des centaines d’esclaves en transit, de toutes provenances et de toutes races, dans une demeure où l’on regarde d’un très mauvais œil l’ingérence de l’Empire qui tente de s’élargir sur Morrowind et qui espère tant mettre à mal leurs ancestrales traditions et leurs coutumes sacrées fondée sur le commerce des esclaves. Son frère, l’héritier, de dix ans son ainé, est un être plutôt effacé, peu porté sur la chose militaire ou même politique, préférant passer son temps à observer des insectes avant de les écraser, que leur père essaie tant de transformer en un futur adulte digne de son sang et digne de son rang.

3E399 : Formé à l’art du combat, bien qu’il ait encore beaucoup à apprendre, la tête bien remplie par la vaste et complexe culture Dunmer, le jeune Seryn a sans doutes envie de faire ses preuves alors que son père se doit d’aller siéger régulièrement au Conseil des grandes maisons. Ses relations avec son ainé ne sont pas vraiment au beau fixe ; Seryn est ambitieux et, si les années ont aidé à changer son frère plutôt timide et sadique avec plus faible encore que lui en quelque chose d’à peu près potable pour succéder à leur père, il n’y a qu’à croiser le regard parfois plein de dédain qu’ils peuvent s’échanger pour tout comprendre. Mais Seryn est du genre patient et il trouve une excellente occasion de prouver à sa famille comme à lui-même ses qualités quand le patriarche Drès l’envoie à Vvardenfell pour sympathiser et infiltrer la terrifiante Camonna Tong. Le but de cette manœuvre ? Y trouver des raisons de déstabiliser la maison Hlaalu qui se dit favorable à l’Empire. Une idée insupportable pour les Dunmers conservateurs, alors que de l’autre côté, on soupçonne certains membres des Hlaalu, hauts placés, de diriger l’organisation criminelle des plus extrémistes à l’encontre des étrangers. Paré d’une fausse identité, il part découvrir l’île de Vvardenfell et parvient à intégrer les rangs de la Camonna après plusieurs mois.

3E407 : Adapté à cette nouvelle existence où, partant de simple homme de main, il a progressivement gravi les échelons de l’organisation mafieuse en se montrant d’une cruauté sans égard pour ceux que ce groupe désigne comme ses ennemis, Seryn a accumulé preuves et rapports pour son père, comme demandé. A présent temps de se dévoiler et de mettre cartes sur table avec l’elfe à la tête du syndicat, Seryn profite d’un rapport à lui remettre directement pour dévoiler qui il est en réalité. Ou comment aborder une conversation de manière assez déstabilisante, et c’est ce qui a sans doutes aidé à conclure, avec l’éminent cadet Hlaalu complotant contre son frère, des accords secrets entre les Drès et lui. Le soutien de la maison Drès pour l’aider à se débarrasser de cette vermine pro-Empire, en échange de quelques rétributions, financières pour la plupart. Rappelé à Larme au terme de cette alliance, le père de Seryn lui annonce sa volonté de le marier, à la fille d’un Seigneur-mage Telvanni qui n’a pas d’autre enfant et qui, plutôt en marge des autres seigneurs de son clan, se retrouve avec quelque difficulté à transmettre ses possessions. Fraichement marié à une jeune elfe qu’il n’a jamais connu avant cela, Satyana, il finit par nouer avec elle une relation d’estime mutuelle et même d’une certaine tendresse en se découvrant de nombreuses affinités et des passions communes. Mage douée, ayant appris auprès des meilleurs sorciers Telvanni, elle lui transmettra à son tour ses talents pour la destruction, et alors qu’elle n’a jamais eu l’occasion de voyager, toujours enfermée dans ces immenses tours-champignons, elle et son mari entament de nombreux voyages sur les territoires Drès, notamment pour seconder le patriarche dans la gestion de la grande maison.

3E430 : Le premier enfant de Satyana et Seryn voit le jour, c’est un garçon. Une période plutôt insouciante s’ensuit mais de courte durée seulement, car trois années plus tard, les portes de l’Oblivion s’ouvrent et Morrowind aussi est touchée par l’invasion des créatures maléfiques qui en sortent. Et encore, ce n’est rien par rapport aux catastrophes qui s’annoncent dans l’ombre pour les elfes noirs.

4E6 : Peu touché par la destruction de Vvardenfell et l’éruption du Mont Ecarlate, les territoires Drès, qui sont les plus lointain de l’île principale des Dunmers, n’est toutefois absolument pas prête à endiguer une invasion argonienne comme celle qui s’abat alors cette année-là. Les autres maison Dunmers, encore plus affaiblies, sont à peine capables de défendre ce qui reste de leurs terres, tandis que toute la partie Sud de la province, aux Drès est rayée de la carte. La prise et la destruction partielle de Larme conclut cette abominable déroute et Seryn, qui a été mobilisé pendant tout le conflit pour repousser ces misérables lézards, ne peut presque rien sauver dans leur retraite. Pire, en plus de lui prendre sa maison, la guerre lui arrache aussi son fils de 9 ans dans le massacre de Larme. Son frère tombe au combat également, quant à son père, une grave blessure le rend infirme, incapable de pouvoir à nouveau marcher un jour. De sa famille et de son clan, il ne reste que quelques braises fumantes qui trouvent refuge dans leurs derniers bastions. Bien plus effondré pour son enfant que pour ce frère qu’il préférait ignorer la plupart du temps, Seryn n’arrive même pas à se réjouir d’être devenu l’héritier. Pour hériter de quoi, de toute façon ? Leur fortune est partie en fumée, leurs gens ne sont plus qu’un amoncellement de cadavres sur lesquels pensent les Argoniens. C’est peu dire qu’il les hait alors plus que tout.

4E10 : Ce qui devait être le temps de la vengeance en poussant une offensive pour repousser les Argoniens et reprendre une partie de leurs terres s’est transformé en un temps de larmes. Satyana, qui a insisté pour l’accompagner alors qu’elle était enceinte, se trouvait à la tête des mages-guerriers, succombe sur le champ de bataille. Ce jour, qui n’est ni une victoire, ni une défaite, mais simplement un massacre de plus qui inonde la terre boueuse de sang, est aussi un jour funeste pour les Drès. Seryn n’est pas tué, bien que gravement blessé à la tête, d’où il écope de sa profonde cicatrice et son œil borgne, mais il est fait prisonnier par les Argoniens. Le pire sort qu’il aurait souhaité ; retenu en otage pendant de très longs mois dans une grotte qu’il aurait bien cru devenir son tombeau, il aurait très largement préféré mourir et rejoindre Satyana que de subir cet affront, ce déshonneur cuisant que de voir le reste de sa famille devoir payer pour sa libération.

4E11 : Retrouvant sa liberté et la lumière du jour, plus mauvais et amer que jamais, Seryn rentre donc à Necrom qui est devenue entretemps la nouvelle capitale de la maison Drès. Son père, à cause de son infirmité, reste à Sombrejour, et l’héritier désabusé se retrouve donc seul, d’abord aidé par sa mère pour gérer les affaires de la maison. En réalité, pendant les premières années, incapable d’accepter la perte de son enfant et de son épouse, et toute cette succession de catastrophes aboutissant à la déchéance du peuple dunmer dans son ensemble, Seryn s’enfonce dans une existence enfermée dans le palais des Drès, dans une vie de débauche pour oublier ce qu’il a perdu et ne retrouvera jamais.

4E176 : Bien que toujours si exécrable et dédaigneux comme jamais, les dernières décennies l’ont vu émerger du gouffre dans lequel il s’était plongé. Plus équilibré – les remontrances de son vieux père n’y sont sans doutes pas pour rien – il est parvenu à rendre aux Drès une minuscule étincelle dans la nuit qui s’était abattu sur eux. Les événements qui se sont précipités dans le reste de Tamriel y ont aussi été pour quelque chose, les différentes guerres entre Thalmor et Empire décadent ont été la source bienvenue d’un renouveau dans le trafic des esclaves et ont permis à leurs terres saccagées de retrouver une certaine prospérité. Visitant épisodiquement son père à Sombrejour – qui décidément n’a pas l’air d’avoir envie de mourir – les rumeurs provenant de Bordeciel concernant les actions du Thalmor ne peuvent qu’intéresser cette famille qui fait du profit peu moral une valeur sûre. Seryn se rend lui-même en Bordeciel pour s’y installer quelques temps et prendre contact avec l’ambassade du Thalmor qui, après tout, n’a pas encore eu beaucoup de contacts avec les Dunmers isolés. C’est là aussi qu’il tisse des liens – masquant du mieux qu’il peut son mépris – avec les elfes noirs établis en Bordeciel et particulièrement la pègre misérable qui croupit dans le quartier gris de Vendeaume. La meilleure population à corrompre pour en faire de gentils petits informateurs pour un réseau qui peut alors tisser sa toile en Bordeciel. Et aussi un excellent moyen de se ravitailler en chair fraiche d’esclaves notamment en pistant les caravanes khajiits qui voyagent dans cette contrée de glaces, et qu’il est facile de faire transférer par navire jusqu’à Sombrejour. Noble Drès qui souhaite établir des liens commerciaux ou des alliances le jour, et ignoble dunmer à la tête d’un réseau criminel la nuit.

4E190 : Bien établi, il décide de rentrer à Morrowind, une contrée bien plus agréable malgré l’air parfois pestilentiel que l’on peut encore respirer à cause des âcres fumées du Mont Ecarlate. A vrai dire, c’est surtout la fin de vie de sa mère qui lui fait prendre cette décision, parce qu’il faut bien une présence sur les territoires Drès pour que les affaires tournent bien. Son père, plus proche de Bordeciel, est le plus à même de continuer à surveiller de loin le réseau mis en place par son fils, après tout.

4E200 : La guerre civile ? Les rumeurs sur le retour des dragons ? Voilà des perspectives très alléchantes et il ne faut guère longtemps pour voir alors le retour de Seryn en Bordeciel. Installé à Blancherive, du fait de sa neutralité qu’il l’arrange fort, s’il y a bien du profit à se faire sur le dos des gens, c’est pendant les guerres qui ne le concernent pas.

❖ Tu peux maintenant passer signer les bottins Il y en a pas mal parce qu'on aime bien que tout soit bien rangé, mais il ne faut pas passer à côté, pour que tout soit clair pour tout le monde ensuite N'oublie pas aussi de signaler ton rôle et si tu as un clan
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